Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

> >

Le conseil présidentiel de l’enseignement supérieur s’ouvre ce 28

Facebook
Twitter
WhatsApp

Du 28 au 30 novembre prochains, le conseil présidentiel sur l’avenir de l’enseignement supérieur au Togo se tient sous la présidence du chef de l’Etat, Faure Gnassingbé, une rencontre à l’issue de laquelle un document des actions immédiates, à court moyen et long terme sera sorti.

Selon le ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, Octave Nicoué Broohm, tous les acteurs de l’éducation supérieure à la tête desquels le chef de l’Etat, seront à l’œuvre pendant trois jours pour doter le Togo d’un document de référence en matière d’enseignement supérieur, contenant des actions à réaliser jusqu’à l’horizon 2025.

« Dans les prochains jours, nous organisons le conseil présidentiel sur l’avenir de l’enseignement supérieur au Togo. Il s’agit d’une concertation nationale qui rassemble tous les acteurs de l’éducation du supérieur et d’autres partenaires autour de la question de l’enseignement supérieur et de la recherche », a-t-il indiqué.

« En réalité, a-t-il appuyé, à partir de cette rencontre qui sera placée sous la présidence effective du chef de l’Etat, il s’agit d’arriver à un document de référence à l’échelle de ces trois jours de concertation qui va décliner les priorités de notre pays en matière de l’éducation supérieure avec un plan stratégique d’action budgétisé et à l’horizon 2025 ».

Concrètement, a souligné le ministre, dans ce document, il sera précisé les actions immédiates en termes de réformes, les actions à court, à moyen et à long terme à faire.

Selon le président du comité préparatoire d’organisation de ce conseil, le professeur Nicoué Gayibor, le document qui sortira de cette concertation prendra en compte tous les problèmes qui minent actuellement l’enseignement supérieur.

« Nous avons identifié dans les mesures à prendre dans l’immédiat, les actions qui ne requièrent pas un lourd investissement financier, notamment la mise en ligne des cours et une autre façon de composer les épreuves et de corriger les copies dans les facultés où le nombre des étudiants est pléthorique ».

Depuis l’avènement du système LMD au Togo, les années académiques ont connu plusieurs soubresauts, notamment des soulèvements d’étudiants pour réclamer l’amélioration des conditions de travail et de vie sur les campus

Source : Afreepress