La problématique du respect des droits des migrants reste une préoccupation majeure des autorités belges. « Pas moins de 57 % des personnes réfugiées et migrantes en Belgique et aux Pays-Bas ont été en contact direct ou indirect avec des violences sexuelles, y compris le viol et l’exploitation s3xuelle ».
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En témoigne un rapport publié ce jeudi 18 juin 2020 par la Plate-forme Mineurs en exil et du centre d’expertise de l’Institut Supérieur des Sciences de la Famille de la Haute école Odisee. La moitié des personnes réfugiées dans le monde sont des enfants.
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Ce rapport peint en noir la situation des migrants et réfugiés sur le territoire belge. Si les violences s3xuelles sont basées sur le genre, elles suscitent souvent l’émoi collectif. De nombreuses victimes ayant un passé de réfugié ou de migrant semblent oubliées dans ce débat, estime la Plateforme Mineurs en exil, qui parle d’« indignation sélective ».