Sérieusement attaqué par Apoutchou National, l’entrepreneur Souleymane Kamagaté a reçu un soutien de taille, venant de Camille Makosso.
Pour l’histoire, lors de son passage sur le plateau de La 3, l’influenceur a traité son confrère d’aigri et de mendiant politique. Des propos que le pasteur n’a pas digérés. A travers sa page Facebook, il a invité ses confrères à arrêter de s’en prendre au monsieur, parce que, selon lui, il est un homme de valeur.
« Vouloir toujours l’humilier parce qu’il a été en conflit avec une personne qui a réussi un événement de divertissement que tous saluons, est quand même méchant pour un pays dont le symbole est la paix.
Quel est son crime pour lequel chaque jour on doit l’humilier sans penser à sa femme qui est ambassadrice de la musique ivoirienne ? Ce pays me fait peur, car les nuls et les mendiants internationaux sont devenus des donneurs de leçons sur les réseaux par leur propos et leurs commentaires.
Cet homme est un époux exemplaire et son couple fait rêver, tandis que certains sont encore dans le vagabondage s3xuel. Cet homme est chef d’entreprise et un homme de la culture avec ses activités qui ont toujours eu le succès par rapport à ses objectifs.
Cet homme est un père de famille exemplaire et l’on voit toujours comment il éduque ses enfants. Nous nous disons des frères et des croyants, mais tous les jours, ont doit blesser l’autre et humilier l’autre. Demain, quand les mêmes humiliés se défendent, leurs bourreaux, comme de véritables lâches, se mettent en position de victimisation.
Jonathan Morrison a réussi son tournoi, félicitations, mais les véritables hommes de paix doivent réconcilier les Ivoiriens et non diviser. Rire quand on humilie une personne est un péché devant Dieu, car la Bible dit : ‘Psaume 1v1, Heureux l’homme qui ne marche pas selon le conseil des méchants, qui ne s’arrête pas sur la voie des pécheurs, et qui ne s’assied pas en compagnie des moqueurs.’
SOULEYLANE KAMAGATE, JE TE LE DIS HAUT ET FORT JE T’AIME ET TU ES UN HOMME AVEC GRAND H », a écrit le pasteur.
