Alors que la plupart des pays ne sont ouverts qu’aux formes de mariage monogamique et polygamique, quelques cultures dans le monde autorisent la polyandrie, permettant à une femme d’épouser plus d’un homme.
L’idée qu’un homme puisse épouser autant de femmes que possible n’est pas rare dans de nombreuses régions du monde. Cependant, il n’est pas rare non plus que les femmes épousent plus d’un homme à la fois. C’est peut-être rare, mais ce n’est certainement pas interdit dans certains pays et cultures du monde.
Bien que, selon quelques recherches, cette pratique ait été abandonnée dans certains pays. Il existe quelques pays où elle est encore pratiquée à ce jour.
Selon ces cultures, on croit que lorsqu’une femme épouse plus d’un homme, cela limite la croissance démographique des humains, tout en améliorant la survie des enfants.
Voici les pays qui autorisent les femmes à épouser plus d’un homme :
Kenya
Bien que la polyandrie ne soit pas explicitement interdite ou prohibée par la loi au Kenya, il ne s’agit pas d’une pratique rare.
Le mariage polyandrique au Kenya a été entendu pour la première fois en 2013 lorsque deux hommes en ont eu assez de se battre pour une femme et ont décidé qu’ils allaient tous les deux se marier avec elle.
La bonne nouvelle est qu’elle ne pouvait même pas se décider sur l’homme qu’elle voulait, c’était donc une bonne raison de les marier tous les trois.
Inde
La polyandrie est assez populaire dans les régions du nord de l’Inde, chez les Paharis de la région de Jaunsarbawar et de certaines parties de Kinnaur, dans l’Himachal.
Cette pratique a commencé avec les descendants des Pachi Pandavas (5 frères qui ont épousé Draupadi, la fille d’un roi, le roi Pachanla), qui pensaient qu’il était de leur devoir de perpétuer la tradition familiale.
Chine
La plupart des familles de la tribu tibétaine de Chine étant pauvres, le mariage polyandrique est encouragé pour relever le défi de diviser leurs héritages entre tous les descendants de pères distincts. De cette façon, ils peuvent conserver l’intégralité de leurs biens plutôt que de les diviser.
