Hier, nous vous rapportions que l’ex-président ivoirien, Laurent Gbagbo, en liberté sous condition à Bruxelles, a été contraint de déménager après la divulgation de son adresse de résidence sur les réseaux sociaux.
A en croire nos confrères de Koaci, ce départ impromptu de la résidence connue de la Cour pénale internationale (CPI) a provoqué la colère de la juridiction internationale ainsi que de la Belgique. En effet, la CPI et le royaume Belge ont en charge la sécurité de l’ex chef d’Etat ivoirien et tout changement devrait être au préalable notifié.
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Selon des sources proches de la défense du Fondateur du Front Populaire Ivoirien (FPI), indique la source, la cour l’a tenu pour responsable de cette divulgation et aurait menacé de le renvoyer à La Haye afin de s’assurer qu’il est en sécurité.
Une décision refusée par son conseil dirigé par Me Emmanuel Altit. Ce dernier a plutôt invité son client à porter plainte contre les personnes qui ont divulgué son adresse sur les réseaux sociaux, afin de dégager toute responsabilité de sa part.
C’est ce que l’ex président ivoirien a fait tout en prenant le temps de changer de domicile pour une nouvelle résidence, où il se sentirait plus en sécurité.