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Debordo Leekunfa : ”Si tu continues, je vais venir te frapper chez toi”, le camp de Fally Ipupa riposte enfin (vidéo)

Debordo Leekunfa : ''Si tu continues, je vais venir te frapper chez toi", le camp de Fally Ipupa riposte enfin (vidéo)

Crédit Photo : Facebook

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Après plusieurs jours de silence, le camp de Fally Ipupa fait enfin une sortie pour recadrer Debordo Leekunfa.

En effet, Debordo Leekunfa avait lancé un mouvement pour le boycott du concert de Fally Ipupa en Côte d’Ivoire. L’ex ami de DJ Arafat a affirmé en premier lieu que les congolais sont racistes et qu’ils n’aiment pas les artistes ivoiriens.

En deuxième lieu, il a affirmé que les artistes internationaux sont beaucoup plus valorisés en Côte d’Ivoire que les artistes locaux. Soutenu par ses confrères notamment Tiesco Le Sultan, Safarel Obiang, etc., Debordo Leekunfa a annoncé la tenue de son concert gratuit, à la même date que celui de Fally Ipupa.

Après le direct effectué par le général Camille Makosso, Debordo Leekunfa a finalement fait une publication pour annoncer son abandon de la lutte, chose que ses collègues n’ont pas appréciée.

La riposte du camp de Fally Ipupa

Même si l’artiste lui-même n’a pas répondu à Debordo, ses nombreux fans se sont quand même dressés contre l’artiste ivoirien.

Dans une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux, un fan de Fally Ipupa a tenu des propos violents à l’égard de Debordo Leekunfa, durant une émission. Il menace de lui donner la raclée de sa vie.

Debordo, tu es le fils d’une pute. Ta mère est une pétasse. Ne touche pas au drapeau congolais. Regarde comment tu es vilain.

Si tu continues, je vais venir en Côte d’Ivoire pour te fouetter. Impoli que tu es. Tu es un artiste sans succès”, sont les quelques propos de fan.

Cette vidéo n’a pas inquiété Debordo Leekunfa. Il l’a d’ailleurs postée sur sa page Facebook, et a promis de ne pas riposter.

J’ai décidé de tout stopper et de bosser dans la paix du Seigneur. Mais les congolais n’ont toujours pas compris mon opinion.

Merci quand même à vous, peuple congolais. Même si mon peuple m’a livré à la vindicte populaire, mon Dieu ne me lâchera jamais”, a-t-il publié.