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Eric Dupond-Moretti : cette chanson d’Isabelle Boulay qui le fait « pleurer »

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Grand fan de l’œuvre de sa compagne Isabelle Boulay, Eric Dupont-Moretti admire un des titres de la chanteuse québécoise qui le touche particulièrement. Dans les pages du livre « Le droit d’être libre » paru en 2018 et écrit avec le journaliste Denis Lafay avec lequel Eric Dupond-Moretti partage une passion pour « la belle chanson française », on y apprend que l’actuel ministre de la Justice est un grand fan de « Si tu me payes un verre ».

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C’est un titre de Serge Reggiani repris par sa compagne Isabelle Boulay, comme une quinzaine d’autres chansons. « Éric m’avait confié « pleurer » à la voix qu’elle pose sur ‘Si tu me payes un verre’ », écrit le journaliste « L’émotion qu’exhale la voix de la chanteuse dépasse même celle qu’on croyait réservée au seul timbre et au seul vécu de Serge Reggiani », confirme Denis Lafay au sujet de ce titre qui déclenche bon nombre d’émotions chez l’avocat. 

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Pour rappel, Isabelle Boulay avait repris ce titre en 2014 lors de son album de reprises de Serge Reggiani, « Merci Serge Reggiani. » Pourquoi ce titre résonne dans l’esprit d’Eric Dupond-Moretti ? Dans l’un des passages, on peut entendre cette phrase bien particulière : « Ne jamais juger le bon ni la canaille. » « Un seul passage aurait suffi pour comprendre ce que la chanson déclenche dans le corps d’Éric, dans le corps de l’homme et de l’avocat Dupond-Moretti, dans le corps de celui qu’ont tour à tour mutilé, réparé, enfiévré, enivré, restauré, tuméfié, exalté, démembré, tant de luttes et tant de plaidoiries » écrit le journaliste avant de poursuivre : « Éric sait qu’il est lui-même bon et canaille, il sait que tout individu est à la fois bon et canaille » comme les personnes qu’il défend dans son métier d’avocat.