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États-Unis : une femme condamnée à perpétuité pour avoir décapité sa fille de 5 ans qui “réclamait des céréales”

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Jeudi dernier aux États-Unis, une mère de famille de 27 ans a été condamnée à la prison à perpétuité pour avoir décapité sa fille de 5 ans qui “réclamait des céréales”. L’accusée avait déclaré croire que son enfant et son beau-père avaient été remplacés par des clones.

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Le drame s’était produit le 5 janvier 2017 à Kyle, ville située dans l’État américain du Texas. Un homme venait d’alerter les forces de l’ordre après avoir fui le domicile de sa belle-fille de 24 ans. Il avait expliqué avoir été attaqué par cette dernière dans le dos et poignardé à cet endroit et à la tête. La fille de la jeune femme, âgée de 5 ans, était encore avec elle. La version helvète de 20 minutes rapporte qu’une équipe du SWAT et des négociateurs avaient alors été mobilisés pour faire entendre raison à la mère de famille et sécuriser sa fille.

Cependant, la jeune femme avait elle-même appelé les urgences pour leur signaler qu’elle avait tué sa fille “parce qu’elle réclamait des céréales”. Après avoir forcé l’entrée, les policiers avaient découvert la mère, nue dans sa chambre après avoir pris une douche, et le corps sans vie de son enfant. Dans son communiqué, le procureur du comté de Hays indique que la fillette avait été “poignardée à mort et décapitée”.

Lors des 2 semaines du procès, la défense de la prévenue a tenté de mettre en avant la folie de cette dernière afin de lui éviter une condamnation : “Elle a affirmé qu’au moment des attaques, elle croyait de manière délirante que sa fille et son beau-père avaient été clonés et qu’il fallait les tuer pour ramener les vrais membres de sa famille”.

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La jeune femme a finalement écopé jeudi d’une peine de prison à perpétuité sans possibilité de liberté conditionnelle. Pour le shérif du comté de Hays, cette affaire-là fait partie de celles qui le marqueront à vie : « Je suis dans cette branche du métier depuis plus de 43 ans. C’est l’un des pires cas que j’ai vus et que j’ai eu à gérer ».