Dans un monde en perpétuelle transformation, laisser son argent se reposer peut être une décision désastreuse. Pallier cette situation à travers l’investissement, c’est ce que propose EVOLVE CAPITAL, le club parisien d’investissement fondé il y a 3 ans qui veut démocratiser l’éducation financière, base de la liberté financière.
Initié par de jeunes actifs et étudiants passionnés et désireux, non seulement, d’apprendre, mais aussi de faire fructifier leur épargne, ce club gère un portefeuille de plus de 85.000 Euros.
Fort des challenges domptés au cours de sa jeune existence, EVOLVE CAPITAL compte se positionner très prochainement comme étant un acteur majeur, connu et reconnu de la vulgarisation et de l’essaimage de clubs d’investissements en France, surtout auprès de la jeunesse. Des ambitions soutenues par ses piliers que sont la réactivité, la transparence, la communication et la recherche de performance.
Qu’est-ce qu’un club d’investissement ?
Le club d’investissement est une formule d’épargne pédagogique conviviale et ouverte à tous. Il est composé de particuliers qui décident de mettre en commun une épargne mensuelle, d’un montant peu élevé, afin de constituer et de gérer ensemble un portefeuille collectif de valeurs mobilières (essentiellement des actions).
Les clubistes versent une mensualité d’un montant défini par eux-mêmes dans leurs statuts. Cette mensualité permet d’alimenter le portefeuille commun. Le maximum des versements par an et par foyer fiscal est fixé par l’administration à 5 500 euros.
La réelle valeur ajoutée d’un club d’investissement au-delà de la constitution d’un capital, c’est sa dimension pédagogique. Il permet à ses membres d’acquérir, en manipulant des produits financiers gérés en temps réel, les connaissances économiques, financières et boursières qui sont une nécessité surtout en ce siècle.
Quel aspect juridique revêt un club d’investissement ?
Au sens de la loi, le club d’investissement prend la forme d’une convention d’indivision volontaire. Il s’agit d’une forme juridique qui permet à plusieurs personnes de se partager le droit de propriété sur un actif. L’indivision peut être gérée pratiquement comme une société dotée de la personnalité morale. Dans le cadre du club d’investissement, chaque membre dispose d’un droit de retrait sans avoir à demander le partage. De ce fait, il est nécessaire d’inclure dans les statuts du club les modalités de remboursement des droits acquis dans le portefeuille.
Quel dispositif fiscal pour les clubistes ?
Le principe essentiel en matière de fiscalité des clubs est celui de la transparence fiscale (note du 23 décembre 1969 BOCD 1969 II 4694). Ce qui signifie que les membres d’un club se trouvent placés, au regard de la fiscalité, dans une situation comparable, à celle qui serait la leur s’ils géraient personnellement leur portefeuille.
Au détail près que cela concerne uniquement les revenus (dividendes, intérêts…) et non les gains en capital. En vertu de ce principe, chaque membre doit, par exemple, déclarer sa quote-part de dividendes perçus par l’intermédiaire du club.
Mais les clubs bénéficient également d’avantages fiscaux spécifiques. La loi du 5 juillet 1978 reconnaît le caractère pédagogique des clubs et leur permet de bénéficier d’un régime d’imposition simplifié. Celui-ci prévoit que les gains nets retirés d’opérations de bourse effectuées par le club échappent à toute taxation. En clair, les plus-values réalisées par le club pendant toute la durée de son fonctionnement sont exonérées. Celles réalisées par les membres à l’occasion de leur sortie (démission ou dissolution du club) sont imposables.
