Lancé en 2013 dans l’optique de réduire significativement la vulnérabilité du Togo face aux catastrophes, le Projet de gestion intégrée des catastrophes et des terres (PGICT) arrive à terme dans onze mois.
A cet effet, il s’est ouvert ce jeudi 28 juillet à Lomé, une rencontre d’échanges entre acteurs nationaux et des cadres du Groupe de la Banque mondiale. L’objectif est de penser à l’après PGICT en termes de résultats atteints et comment pérenniser les différents acquis.
Pour la spécialiste environnementale en chef du Groupe de la Banque Mondiale, Mme Dahlia Lotayef dont l’institution est la principale pourvoyeuse de fonds à hauteur de près de 17 millions de dollars, ‘Pendant la dernière année de vie des projets, nous œuvrons vers ce que nous appelons une stratégie de sortie.’
Elle permet d’une part de faire une transition vers une plus grande appropriation et une inclusion de tous ses acquis dans les activités des différents ministères, des différents acteurs ; et d’autre part d’amener le projet à atteindre le niveau le plus bas en matière d’activité sur le terrain avec des actions communautaires rattachées au quotidien et aux besoins immédiats des populations, a-t-elle ajouté.
Cette rencontre qui s’inscrit dans le cadre de la 6è mission de suivi-évaluation dudit projet, permettra également de faire un tour d’horizon des différentes réalisations au titre des composantes entre autres, l’appui institutionnel des structures impliquées dans la prévention et la gestion des catastrophes, et le système d’alerte précoce.
