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L’insertion socio-professionnelle des jeunes après les études universitaires : M. Noagbodji, P-DG de Café Informatique, a partagé ses expériences avec les jeunes

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Pour tout étudiant, le passage du milieu universitaire au milieu professionnel, n’est pas chose aisée. Nombreux sont ces diplômés qui vivent le chômage comme une réalité quotidienne.

Vue partielle des participants

En vue de mettre en lumière les réalités du monde de l’emploi et offrir une meilleure orientation professionnelle aux étudiants togolais, la fondation Piscare a initié ce samedi 20 octobre 2018, à son siège à Akodésséwa (Lomé), une conférence-débat sur l’insertion socio-professionnelle des jeunes après leurs études universitaires.

(A gauche) M. Noagbodji Jean-Marie, président Directeur-Général de Café Informatique et président de la fondation Piscare, (Au milieu) Prof Akodah Ayewouadan, agrégé des facultés de droit et Directeur des prestations de services à l’Université de Lomé, (A droite) Dr Atchou Essousso, Directeur exécutif de la fondation Piscare

La conférence a été animée par les experts tels que, M. Noagbodji Jean-Marie, Président Directeur-Général de Café Informatique et Président de la fondation Piscare, Dr Atchou Essousso, Directeur exécutif de la fondation Piscare, et Prof Akodah Ayewouadan, agrégé des facultés de droit et Directeur des prestations de services à l’Université de Lomé.

Au cours de la rencontre, M. Noagbodji Jean-Marie a entretenu les jeunes sur la thématique intitulée « l’entrepreneuriat, moyen efficace de lutte contre le chômage et le sous-emploi des jeunes. ».

Intervention de M. Noagbodji Jean-Marie, président Directeur-Général de Café Informatique et président de la fondation Piscare

Ce dernier a dans son exposé, montré aux étudiants la démarche idéale pour créer une entreprise à la fin de leurs études à travers des exemples pratiques tirés de la vie réelle.

Pour M. Noagbodji Jean-Marie, les jeunes, peu importe leur secteur d’activité, doivent identifier des problèmes et développer des solutions adéquates. Ils peuvent se baser sur des connaissances acquises à l’université à l’instar de leurs sujets de mémoire pour créer leurs entreprises. Néanmoins, ils doivent avoir un business-model bien élaboré, a-t-il conseillé.

Le P-DG a également recommandé aux jeunes de s’inspirer des solutions venues d’ailleurs, tout en y apportant une touche originale. Pour réussir son projet, il faut miser sur le travail coopératif et rechercher de l’assistance d’entreprises ou entrepreneurs expérimentés, a-t-il précisé.

À l’issue de son développement, M. Noagbodji Jean-Marie a encouragé les jeunes à s’auto-employer et surtout à faire preuve d’audace et de persévérance dans leurs activités entrepreneuriales.

« Il faut que les jeunes osent, qu’ils n’aient pas peur qu’au début il y aura des difficultés, mais qu’ils osent oser et le succès est toujours au bout » a-t-il conclu.

Un des étudiants, s’adressant aux conférenciers

Notons que les échanges ont permis aux participants de poser leurs inquiétudes aux experts qui n’ont pas hésité à apporter des réponses claires, tirées de leurs expériences.

Au terme de cette rencontre, les responsables de la fondation Piscare ont rassuré l’assistance sur la tenue d’autres conférences s’inscrivant dans la même logique.