Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

>

“Promotion canapé, sorciers…” : excédée, la “Clé Clé” de Gohou balance tout sur le showbiz ivoirien (vidéo)

Crédit Photo : Vudaf.com

Facebook
Twitter
WhatsApp

« Gohou et moi, c’est la pure fraternité » ! Contrairement à ce qu’il en est dans la série « Ma Famille » et ce que disent certaines rumeurs, Clémentine Papouet n’est pas la femme de Gohou Michel quand bien même hors caméra ils sont très proches.

Actrice de théâtre ayant expérimenté cinéma et musique, la talentueuse et célèbre comédienne ivoirienne connue pour son rôle de « Clé Clé », femme dominante aux réparties incroyables dans la série populaire, était invitée le vendredi 07 mai 2021 sur le plateau de la RTI3 pour l’émission peopl’émik. Entre plusieurs révélations sur son parcours, elle n’a pas mâché ses mots en levant le voile sur le côté sombre du monde cinématographique.

Tout d’abord, « Clé Clé » n’est pas agressive comme on le voit avec Gohou (dans la série). « Je ne suis pas agressive, mais je ne suis pas hypocrite. Quand je suis en colère, à des kilomètres tu le vois », a-t-elle confié en dénonçant le fait que le plus souvent les gens critiquent sans chercher à savoir pourquoi elle « fait palabre ».

Et de dévoiler : « Dans notre milieu il y a beaucoup de “sorciers”, des hommes comme des femmes, il y a des coupeurs de route hein ! », a-t-elle commencé. Simple exemple : il arrive que pour un contrat, n’arrivant pas à joindre la personne recherchée, le promoteur passe par une autre personne pour avoir le contact. Mais celle-ci au lieu de simplement rendre le service exige d’être intégrée au projet avant de répondre à la demande.

Et ce n’est pas tout. Une fois cela garantie, en donnant l’information à la personne recherchée, elle se fait passer pour celle qui a trouvé un contrat juteux et l’a recommandée. « Et c’est courant dans notre milieu. Ou bien, « elle n’est pas là, elle est enceinte, elle est en voyage… juste pour prendre le contrat », a-t-elle ajouté.

« Et puis, il y a la “promotion canapé” », c’est à dire que certains producteurs donnent des contrats au prix de la couche. « Lorsqu’un producteur a commerce avec une femme, il devient automatiquement faible. Donc la personne va chercher à s’imposer même si ce n’est pas elle qu’on recherche pour un rôle

Pour y remédier, Clémentine Papouet recommande aux producteurs d’aller directement aux acteurs au lieu de passer par une tierce personne. « Intermédiaire, 90 % ce sont des sorciers ».