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« White Lives Matter Burnley » : l’auteur de la banderole viré par son employeur

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Le 22 juin, une banderole portant la mention « White Lives Matter Burnley » a été propulsée dans les airs par Jake Hepple avant le match entre Manchester City et Burnley. Il a été licencié par son patron et banni à vie du club de Burnley qui est le symbole d’une classe ouvrière blanche qui ne veut pas mourir.

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Jake Hepple employé comme soudeur pour la société Paradigm Precision avait hissé sa banderole dans les airs peu après que les joueurs du match City-Burnley ont mis genou à terre en signe de soutien au mouvement Black Lives Matter.

D’après le Sun, la société qui l’emploie a indiqué « ne tolérer le racisme sous aucune forme ».

Démentant le caractère raciste de son geste, l’homme qui ne regrette aucunement son acte a expliqué avoir simplement voulu montrer « que les vies des blancs étaient tout aussi importantes ». 

« Cette bannière a été inspirée par le mouvement Black Lives Matter. (…) Je crois qu’il est également important de reconnaître que les vies blanches comptent aussi. C’est tout ce que nous voulions dire », a-t-il fait savoir dans une interview avec MailOnline.

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Hepple a ajouté que la police lui avait rendu visite à son domicile mardi soir, rapporte d’après BZH.

« La police m’a dit que je n’avais commis aucun crime et que je n’avais rien fait de mal. En fait, ils m’ont demandé si j’allais bien et si je voulais une protection, juste au cas où des gens essaieraient de s’attaquer à moi. Je ne comprends pas pourquoi on me traite comme un criminel (…) ».

Bien qu’elle n’avait pas participé à l’action de Jake Hepple, sa conjointe Megan Rambadt a aussi été licenciée du salon de beauté qui l’employait. Cette sanction à son égard s’explique selon le Daily Mail, par ses commentaires jugés racistes sur les réseaux sociaux.