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A 12 ans, ce garçon débute sa 1ère année à l’université en ingénierie aérospatiale

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A 12 ans, Caleb Anderson, un garçon américain, vient de débuter sa première année à l’université Chattahoochee Technical, où il doit obtenir, dans deux ans, un Bachelor en ingénierie aérospatiale.

Son rêve ? Intégrer le Georgia Institute of Technology ou encore le Massachusetts Institute for Technology, plus connu sous le nom de MIT.

Son modèle ? Elon Musk, fondateur de Telsa et SpaceX, chez qui il espère un jour faire un stage. «J’ai toujours voulu aller dans l’espace, depuis que j’ai un an. Et je me suis dit que ingénierie aérospatiale serait le meilleur moyen», ajoute-t-il auprès de «USA Today». Selon ses mots, c’est en réalité parce qu’il «intègre les informations très vite», qu’il peut aujourd’hui rêver d’un bel avenir. «Si j’apprends plus vite, alors je peux avancer plus vite», explique-t-il à CBS.

A neuf mois, Caleb apprenait déjà le langage des signes. Puis, quelques mois plus tard, il était capable de résoudre des problèmes de mathématiques. A trois ans, il a été admis au MENSA, une organisation internationale dont le seul critère d’admissibilité est d’obtenir des résultats supérieurs à ceux de 98 % de la population à des tests d’intelligence.

«J’ai ce souvenir distinct d’aller à un cours de première année et d’y apprendre, et tout le monde était bien plus grand que moi, parce que, vous savez, j’avais 2 ans. Je marchais à peine», poursuit-il.

Il n’a pas fallu longtemps à ses parents pour comprendre que leur enfant était doté d’une intelligence supérieure. «Il est déjà meilleur que moi en maths, je ne peux plus l’aider», plaisante son père. Quant à sa mère, elle espère que Caleb deviendra un exemple pour tous les autres Afro-Américains et leurs parents. «Je pense que les gens ont une vision négative des garçons afro-américains. Il y a beaucoup d’autres Caleb. D’autres garçons afro-américains comme lui. Je le pense vraiment. Mais ils n’ont pas l’opportunité ni les ressources», glisse-t-elle.