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« À toi Hamed Bakayoko, de ta tombe, je te demande pardon…”, l’ancien 1 er ministre ivoirien hante-t-il ses anciens amis ? Cet ancien dignitaire brise le silence sur…et surprend

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Six mois sont passés depuis la mort de l’ex-premier ministre ivoirien Hamed Bakayoko, et son nom raisonne toujours à travers l’Afrique et la Côte d’Ivoire. Et cela n’étonne pas, surtout quand on connaît la popularité dont jouissait le feu ministre.

Comme quoi, l’homme part, mais ses œuvres restent.

En effet, dans une sortie récente, Alain Logognon, l’ex-ministre a dans un message présenté ses excuses aux RHDP et à feu Ahmad Bakayoko.

« A mon Épouse que j’aime tant. Ce post s’adresse à mon Épouse, Amira Lobognon. Je te demande Pardon pour ce que tu subis depuis peu. C’est le fruit de mes choix politiques depuis 2002. Amira, mon Cœur, reste telle que tu es, je t’aime !

À mes chères filles. Vous qui avez souffert 18 mois sans la présence de votre Père. Je vous demande de rester comme vous l’avez été, seules, avec votre maman, comptant les jours depuis le 19 décembre 2019 jusqu’à ma sortie de prison, le 23 juin 2021. 

Votre soutien ne doit jamais manquer à Maman Amira, qui vous aime plus que tout au monde. Je vous demande Pardon pour les méchancetés et mensonges déversés sur votre Maman. Je vous aime ! À vous mes Amis, Amadou Coulibaly, Ibrahim Magassa, Amadou Koné, acceptez mon Pardon pour ces insanités jetées sur vous qui visent à déshonorer vos Familles. Je vous demande Pardon.

À toi Hamed Bakayoko, de ta tombe, je te demande Pardon pour les insanités déversées sur ta mémoire. À travers ces mots, que ta Famille, ton Épouse et tes enfants acceptent mon Pardon. Jamais je n’aurais cru que la politique en Côte d’Ivoire serait réduite à tant de bassesses. Tout ce qui importe pour moi aujourd’hui, c’est la construction d’une Nation pour les générations nouvelles et celles à venir », s’est-il exprimé.

Quelles sont les vraies motivations de ce mea-culpa ? Personne ne saurait le dire, mais pour beaucoup, cela sonne comme des aveux de culpabilité.