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Accusé de viol sur Twitter, Justin Bieber dément et se défend preuves à l’appui

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Justin Bieber est sorti du silence après avoir rassemblé plusieurs preuves démentant l’accusation de viol d’une jeune femme au Texas en 2014, dont il fait l’objet sur Twitter.

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Samedi 20 juin, deux publications ayant pour auteur la dénommée Danielle détaillaient une nuit de 2014 au Four Season Hotel d’Austin, au Texas, où Justin Bieber aurait sexuellement abusé d’elle après une soirée en l’honneur de son producteur. 

« Justin Bieber a trouvé un chemin dans mon jean, l’a déboutonné, l’a enlevé et a commencé à tracer mes sous-vêtements avec ses doigts. Mes pensées ont alors commencé à vagabonder dans ma tête, je n’étais plus si sûre d’en avoir envie… Il a ensuite baissé mes sous-vêtements, a attrapé les couvre-lits et les a jetés sur nous. Son corps était au-dessus du mien, peau à peau… Il s’est enfoncé en moi. » 

Ces graves allégations ont fait le tour des réseaux sociaux avant de disparaître, mais ils ont eu le temps de faire leur effet. 

Réagissant après avoir demandé l’avis de ses avocats et consulté son épouse, le chanteur a indiqué sur Twitter que ces rumeurs étaient fausses.

« Les rumeurs sont des rumeurs, mais les abus sexuels sont quelque chose que je ne prends pas à la légère, écrit-il. Je voulais parler tout de suite, mais par respect pour tant de victimes qui traitent ces questions quotidiennement, je voulais m’assurer d’avoir rassemblé les faits avant de faire une déclaration. Je veux être clair. Il n’y a aucune vérité dans cette histoire. Je vais montrer que je n’ai jamais été présent dans ce lieu. »

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Il a posté divers échanges qui prouvant que ce fameux 9 mars 2014, il était logé dans un luxueux appartement Airbnb avec Selena Gomez, sa compagne du moment, plutôt que dans un hôtel, comme l’a indiqué l’accusatrice. Le média “Voici” indique que plusieurs photos accompagnaient ses dires.

« Chaque plainte pour abus sexuel doit être prise très au sérieux et c’est pourquoi ma réponse était nécessaire, ajoute-t-il. Cependant, cette histoire est en fait impossible et c’est pourquoi je travaillerai avec Twitter et les autorités pour engager des poursuites. »