Très actif sur TikTok ces dernières semaines, Adebayor a révélé devoir sa brillante carrière aux pouvoirs surnaturels, dans un live organisé sur le réseau de divertissement, dans la journée du 14 décembre 2025. Devant des milliers de personnes, l’ancien capitaine des Éperviers a dévoilé son rituel d’avant-match, suscitant l’étonnement.
À en croire la légende togolaise du football, en plus de son immense talent, il a dû se soumettre à des pratiques, souvent diversement interprétées, pour parvenir à se maintenir au niveau et à réaliser des prestations XXL.
Ainsi, parmi les rituels qu’Adebayor avait pour habitude de pratiquer, figurait également l’utilisation de parfums spécifiques, qui lui sont souvent remis par son père spirituel, qu’il a sobrement nommé sous le nom de « Baba ».
Au total, la légende togolaise utilisait 11 parfums avant chaque rencontre, estimant qu’il se sentait chaque fois comme possédé après l’utilisation de ces parfums.
« À l’époque, pendant les derniers échauffements d’avant-match, j’avais une serviette blanche que je mettais d’abord au cou. La serviette était alors imbibée de 7 parfums spécifiques différents. Arrivé dans les vestiaires, j’ajoute 3 parfums, ce qui fait au total 10. Ensuite, après l’hymne national, je prends le soin de rejoindre le banc du staff où je mets enfin le 11e parfum. C’est le 11e parfum même qui était le plus important. Je vais obligatoirement marquer, si je fais les choses dans le bon ordre« , a-t-il déclaré.
Durant sa confidence, il a ensuite regretté l’attitude des jeunes joueurs togolais, qui choisissent désormais de pratiquer le football, sans passer par des rituels d’avant-match.
« On ne peut pas se lever, mettre ses crampons, et ensuite choisir de jouer un match. Si c’était aussi facile, tout le monde l’aurait fait« , a lancé l’ancienne gloire du football togolais.
Des révélations qui relancent le débat sur les rumeurs de mysticisme dans le monde du football.
Toujours est-il que les pratiques autrefois observées par Emmanuel Adebayor, n’auront pas suffi pour offrir ne serait-ce qu’une CAN au Togo.
