La tempête qui a secoué Benjamin Griveaux n’est pas prête de s’essouffler. Alors qu’il a été remplacé au pied levé par Agnès Buzyn dans la course à la mairie de Paris, des vidéos privées attribuées à l’ancien candidat LAREM à la mairie de Paris continuent de faire réagir, comme Ségolène Royal qui les a commentées avec son ton bien à elle.
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Le 14 février, le ciel est tombé sur la tête de Benjamin Griveaux, le candidat macroniste à la mairie de Paris. En retrouvant sur internet des vidéos intimes (toujours non authentifiées) qu’il avait supposément envoyées à une jeune femme consentante plusieurs mois plus tôt, l’ancien secrétaire d’Etat et porte-parole du gouvernement a décidé de se retirer de la course à la mairie de Paris, remplacé au pied levé par Agnès Buzyn, qui a lâché son poste de Ministre de la santé pour se lancer dans une campagne inattendue et tout-terrain à trois semaines du scrutin.
Après ce cas édifiant de revenge porn dont la victime est Benjamin Griveaux, la plupart des politiques sont naturellement scandalisées que l’on puisse atteindre à ce point à la vie privée et gâcher la carrière, peut-être la vie d’un homme. Mais si bon nombre d’élus dans les haute-sphères ont fait preuve au mieux de soutien, au pire de réserve, l’une d’entre eux a dénoté dans son commentaire.
Une femme condamnée pour avoir jeté par terre un emballage de sandwich en 2009
Selon le site de L’Express, l’ancienne candidate à la présidentielle 2007 Ségolène Royal s’est distinguée en prenant la parole : “Il y en a marre des concours de quéquettes !” aurait-elle ainsi laissé échapper dans un éclat de rire, avant d’ajouter : “On ne fait pas ça, surtout quand on tient des discours sur la famille et que l’on met ses enfants en avant. Le temps des femmes est venu. Avec nous, il n’y a pas ce genre de problèmes.” Des propos quelque peu triviaux.
Avec Gala