Cette nouvelle affaire de viol avait créé un énième émoi au sein de l’opinion indienne. Selon les informations rapportées à Reuters par le Dr Shalabh Kumar, chef du service des grands brûlés à l’hôpital Safdarjung de New Delhi, la victime a est morte.
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Agée de 23 ans, la jeune femme avait été victime d’un viol collectif, sous la menace d’une arme à feu le 12 décembre, commis par un gang d’hommes dans le district d’Unnao, en Uttar Pradesh.
Après avoir dénoncé les violeurs, un procès s’est ouvert dans un tribunal avec les présumés violeurs.
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La femme était sur le point de monter à bord d’un train dans le district d’Unnao, dans le nord de l’État d’Uttar Pradesh, pour assister à une audience devant le tribunal pour son viol lorsqu’elle a été aspergée de kérosène et incendiée jeudi, selon la police.
Elle a été transportée par avion à New Delhi pour un traitement plus tard dans la journée.
Cette attaque, le deuxième cas majeur de violence contre les femmes au cours des deux dernières semaines, a provoqué des indignations et une vague de protestation en Inde.
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La femme est décédée vendredi après avoir subi un arrêt cardiaque, a déclaré à Reuters le Dr Shalabh Kumar, chef du service des brûlures et des plastiques de l’hôpital Safdarjung de New Delhi.
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“Elle avait 95% de brûlures”, a-t-il dit, ajoutant que les voies respiratoires de la femme avaient été brûlées et que “des fumées toxiques et chaudes” avaient rempli ses poumons.
