De nombreuses femmes ont fini leurs vies en tant que maîtresse d’hommes mariés. Et pour elles, il n’y a rien de mal à être la distraction des hommes, parce qu’en réalité, c’est ce qu’elles sont pour eux.
Un ancienne tchiza (maîtresse) semble elle avoir compris et appelle celles qui mènent cette vie à changer. Pour Aya Robert, on ne gagne absolument rien à être un deuxième bureau, parce qu’elle en sait beaucoup.
« Tu ne deviendras une vraie femme que quand tu vas arrêter de construire ta maison sur un terrain miné ».
« Si c’est pour être une tchiza saligo, c’est mieux d’aller vendre les orange à la gare d’Abobo sinon arrête de braquer le mari d’autrui et vas chercher pour toi, si être une tchiza donnait diplôme c’est que y’a longtemps moi Aya-Robert j’aurais ‘’doctorat’’ », a-t-elle déclaré.