Le FC Barcelone de Joan Laporta est sûr de signer le Polonais Robert Lewandowski cet été et l’attaquant est sûr de porter les couleurs blaugranas la saison prochaine. Mais il faut dire que toutes les parties impliquées dans la négociation sont sûres de quelque chose. Puisque le Bayern Munich est aussi sûr que le joueur sera de retour avec les internationaux s’il n’y a pas d’accord avec le Barça avant le 12 juillet prochain.
Mais s’il y a une chose que personne ne peut changer, c’est la volonté de quelqu’un et Robert Lewandoswki ne veut plus jouer pour le Bayern. Toutefois, ce n’est pas pour autant qu’il faut brader le Polonais, raison pour laquelle même si le Bayern est de plus en plus convaincu qu’il quittera l’Allianz Arena, il ne va pas le laisser filer chez un concurrent à n’importe quel prix. Ainsi, les négociations sont en cours depuis plusieurs semaines. La dernière offre du Barça pour Lewandowski est de 40 millions fixes plus variables, mais les Allemands n’ont pas l’intention de le laisser partir pour moins de 50M€ garantis, rapporte Tofoot.
Les Blaugranas savent qu’ils sont sur la bonne voie et que leur proposition est plus qu’optimale, ils cherchent maintenant de nouvelles voies d’intermédiation pour obtenir le feu vert à la signature du Polonais. Et selon SportBild, Lewandowski est plus confiant dans le fait que le Bayern baisse ses exigences financières que dans le fait que le Barça améliore son offre pour lui. Mais le fait est que le temps joue contre tous les partis, puisque dans moins d’une semaine, les Bavarois commenceront leur camp d’entraînement de pré-saison.
Et le moins que l’on puisse dire est que l’attaquant ne veut pas arriver à ce jour sans que sa signature soit finalisée. Xavi Hernandez, quant à lui, espère également avoir Lewandowski dans son équipe avant le début d’une tournée aux États-Unis qui les verra affronter l’Inter Miami, le Real Madrid, la Juventus et les New York Red Bulls à partir du 20 juillet. C’est dire que le Barça et le Bayern sont condamnés à se comprendre dans ce dossier, d’où l’intermédiation de l’agent du joueur dont le Bayern ne veut plus rien savoir.
