Pour s’estimer belles, elles prennent du « grossifesse« , remède miracle au nom révélateur ou se couvrent le derrière de gaines. En Afrique, où « big is beautiful« , les femmes rivalisent d’ingéniosité pour élargir leurs formes.
C’était une mode, c’est devenu une tendance, et c’est maintenant un business. L’effet « boum boum », l’expression consacrée dans le milieu de la beauté pour désigner les fesses (très) rebondies, fait fureur.
Depuis quelques mois, a lieu sur le continent africain, un trafic de médicaments pour prendre du poids au niveau du postérieur.

En effet, pour être belle selon certaines personnes, il faut avoir un beau bassin. « Les hommes préfèrent les femmes un peu fessues », disent-elles souvent.
Car selon les affirmations, les rondeurs sont signe d’opulence et de « bonne santé » et sont aussi gages de « maternités glorieuses », dont « les fesses sont le siège ».
Et pourtant, la prise des artifices pour épanouir son séant, ne sont pas qu’avantageuses. Elles sont aussi source de complications.
Face à ce fait marrant qui gagne du terrain, Burna Boy a tenu à faire entendre sa voix de la façon la plus comique qu’il soit en story sur son compte Instagram.
« Aujourd’hui, toutes les filles veulent avoir de grosses fesses, pendant que les garçons s’acharnent à gagner de l’argent. On est dans un véritable film au Nigeria », a-t-il écrit.