L’accord sur la table des deux pays depuis 2018, prévoit des interventions armées directes sur le territoire de chaque partie prenante en cas de problème.
Selon Ecomatin, le Parlement Camerounais planche sur la promulgation de cet accord signé depuis janvier 2018 par le ministre délégué à la présidence de la République chargé de la Défense, Joseph Beti Assomo et le Général d’Armée Ümit Dündar, chef adjoint de l’État-major Turc.
La coopération militaire rentre dans le cadre des « opérations de maintien de la paix, l’aide humanitaire, la lutte contre le terrorisme et la lutte contre le piratage ». Elle couvre en fait 25 domaines militaires et fait exception de la guerre.
Il y a également le volet formation de cet accord, qui évoque « la formation en matière de renseignement militaire ; la coopération dans le cadre de la formation en communication, électronique, systèmes d’information, guerre électronique et cyberdéfense ; la coopération entre les commandements des forces spéciales dans le domaine de la formation ; l’échange d’informations et d’expériences en matière de recherche militaire, scientifique et technologique ; la participation à des exercices ou des formations et des exercices conjoints en tant que participant ou observateur… » , renseigne le média camerounais.