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Camille Makosso menacé : “Je lui lance un ultimatum de 72h…” ; les révélations du pasteur sur l’affaire Dubaï Porta Potty font jaser au Burkina Faso

Crédit Photo : Facebook

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La justice burkinabè pourrait être saisie contre Makosso Camille. C’est Rama la Slameuse qui a donné l’information à travers une publication sur sa page Facebook. Que se passe-t-il réellement ?

Dans l’affaire Dubaï Porta Potty, le général Camille Makosso a fait une sortie bruyante. En effet, une nouvelle abondamment relayée sur la toile a fait savoir que des filles sont utilisées comme esclaves sexuelles à Dubaï. Cette information a secoué la toile surtout au niveau des influenceuses.

Le frère ainé de Lolo Beauté a dressé une liste dans laquelle il dévoilait le nombre de célébrités impliquées dans ce scandale par pays. Des artistes, des web comédiennes, des comédiennes, des influenceuses seraient mêlées à l’affaire Dubaï Porta Potty, selon Makosso Camille.

Cette sortie n’est pas du tout du gout de Rama La Slameuse. L’artiste de nationalité burkinabè a brisé le silence en mettant en garde le pasteur ivoirien.

“Loin de moi l’idée de défendre nos Miss qui vont à Dubaï. Loin de moi l’idée de défendre les filles burkinabè qui vont à Dubaï. Blogueuse ou Tiktokeuse je n’en connais même pas à l’intérieur du pays ici. Mais je viens rassurer l’opinion publique nationale et internationale que la femme burkinabè en général ne tombera pas dans une telle bassesse honteuse qui blesse DIEU dans son amour propre et souille la terre du Burkina”, a-t-elle tenu à clarifier.

Rama La Slameuse s’est ensuite montrée très menaçante à l’égard de Makosso. “Je connais très bien les valeurs que nous ont inculquées nos traditions. Quant à Camille Makosso, je lui lance un ultimatum de 72h pour qu’il publie sur les réseaux sociaux les preuves inculpant des filles burkinabè dans ce système de Dubaï.

S’il ne publie pas les preuves concrètes nous allons saisir les autorités compétentes du Burkina Faso pour porter plainte contre lui pour diffamation contre les femmes artistes burkinabè, nos Miss, et nos valeurs du pays, car elles sont des propriétés intellectuelles portant l’image du drapeau burkinabè et les valeurs du pays”, a lancé la Burkinabè.