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CEDEAO et libre circulation des personnes et des biens

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CEDEAO et libre circulation des personnes et des biensOuverture ce mardi 16 février à Lomé, et ce, pour deux jours, d’une rencontre nationale de formation initiée à l’endroit des leaders des organisations professionnelles de commerçants et industriels sur la circulation des marchandises des personnes, le schéma de libéralisation des échanges (SLEC) et le tarif extérieur commun (TEC).

Une initiative conjointe du Groupe d’Action et de Réflexion sur l’Environnement et le Développement (ONG GARED) et du Centre africain pour le commerce, l’intégration et le développement (CACID) grâce à l’appui financier du royaume des Pays-Bas.

À titre illustratif, la CEDEAO est l’espace par essence commerciale avec une prédominance du secteur informel avec des échanges intercommunautaires demeurant encore faibles et variant entre 12 et 15%. Sa part dans les échanges commerciaux internationaux ne représente que 0,7% des exportations mondiales.

Il s’agira à terme, de renforcer les capacités des 250 opérateurs privés économiques de l’Afrique de l’Ouest présents, sur le cadre normatif de la CEDEAO portant sur la libre circulation des personnes, le droit de résidence et d’établissement ; et sur le schéma de libéralisation des échanges.

Dr. Allou Niang, Juriste et coordonnateur de l’Observatoire régional des cohérences politiques de la libre circulation des personnes et des marchandises (Afrique de l’Ouest), dans son allocution, est revenu sur les manquements identifiés, et relève l’importance pour les pays africains de s’approprier les textes juridiques, facteurs de développement et de croissance.

Des points essentiels pour permettre aux citoyens de s’approprier les droits en matière de libre circulation des personnes et des biens dans la communauté, a-t-il ajouté.