C’est peut-être difficile à croire, mais la notion de sexe dans le monde peut être très différente selon l’endroit où l’on se trouve.
Des tribus de Papouasie-Nouvelle-Guinée à l’Iran, nous vous présentons 10 traditions sexuelles choquantes du monde entier.
Ces pratiques sexuelles ne sont pas simplement de la perversion générale, elles sont exigeantes en termes de tradition et de culture. Préparez-vous à vivre un moment inoubliable avec ces coutumes sexuelles.
Il ne s’agit pas toujours d’un acte simple et direct : dans certaines cultures, il est considéré comme tabou, tandis que dans d’autres, il s’agit d’une fête ouverte à laquelle les gens aiment participer (et dont ils parlent). Mais combien de ces cultures alternatives connaissez-vous vraiment ?
Voici 10 traditions s3xuelles étranges à travers le monde qui vont vous effrayer :
Boire du sperme
Les garçons et les filles de la tribu Sambian sont obligés de boire le sperme des plus grands guerriers de la tribu. Cela se fait entre l’âge de 7 et 10 ans. Pendant cette période, ils subissent des piercings, des saignements de nez. C’est une tradition.
Pas de baiser (Mozambique)
Pour la tribu Tonga, embrasser n’est pas hygiénique, car cela implique d’entrer en contact avec la salive d’une autre personne. Ce n’est pas inhabituel, cependant.
Même si la culture occidentale a fait du baiser une norme, des études ont montré que plus de la moitié des sociétés du monde trouvent le baiser “dégoûtant”.
Les femmes de la tribu Guajiro doivent faire tomber un homme pour avoir des rapports sexuels
Le peuple Guajiro de Colombie a une danse cérémoniale. Si une femme fait tomber un homme pendant la danse, ils doivent avoir des rapports sexuels.
Les filles de la tribu Trobriander s’adonnent à des actes sexuels dès l’âge de 6 ans
Les garçons de la tribu Trobriander, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, commencent à avoir des relations sexuelles à l’âge de 10-12 ans, tandis que les filles commencent à 6 ans ! La sexualité est embrassée dès un âge étonnamment jeune. Et ce n’est même pas “illégal”.
À Mangaia, des femmes âgées ont des relations sexuelles avec de jeunes garçons
Dans le Pacifique Sud, à Mangaia plus précisément, des garçons d’environ 13 ans ont des relations sexuelles avec des femmes plus âgées qui leur enseignent les subtilités de l’acte et la meilleure façon de satisfaire leurs partenaires.
Pour les Grecs anciens, l’identité sexuelle ne dépendait pas du sexe et de la préférence, mais de l’identité du pénétrateur actif et de celle du pénétré.
Le rôle actif était associé à un statut social plus élevé, tandis que le rôle passif était synonyme de jeunesse et de féminité, ou d'”amour entre garçons” en d’autres termes.
Des frères partageant une épouse dans l’Himalaya
Dans cette chaîne de montagnes, il y a très peu de terres, et donc très peu de place pour de nombreuses familles. Par conséquent, les ressources sont limitées et il est plus logique pour une femme célibataire d’avoir plusieurs maris, mais ces maris sont aussi des frères qui ne voient aucun inconvénient à partager une épouse.
Masturbation ouverte (Égypte ancienne)
Le débit du Nil était censé être le résultat de l’éjaculation de leur dieu de la création. C’est pourquoi les pharaons se masturbaient ouvertement dans le Nil pour s’assurer qu’il y avait suffisamment d’eau pour l’irrigation.
Orgies et partenaires multiples (Chhattisgarh)
La tribu Muria a également une attitude très libérale vis-à-vis du sexe. Elle organise un festival au cours duquel les adolescents, garçons et filles, sont initiés au sexe. Ils ont des relations sexuelles avec de multiples partenaires et participent même à des orgies. Ils sont encouragés à le faire sans attachement émotionnel.
Quand les femmes jugent les hommes (Niger)
La tribu des Wodaabe organise un festival où les hommes se produisent et sont jugés par un panel de trois femmes. Les autres femmes qui regardent peuvent choisir leur favori et lui taper sur l’épaule. Il devient alors leur nouveau mari, même si elles en ont déjà un.