Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

>

Ces choses à savoir sur la variole du singe

Facebook
Twitter
WhatsApp

Récemment, plus de 80 personnes dans une douzaine de pays européens ont été infectées par la variole du singe.

Le premier cas signalé au Royaume-Uni l’a été le 7 mai 2022 par un patient qui avait récemment visité le Nigeria. Depuis lors, le Royaume-Uni a confirmé plus de 20 cas.

Voici quelques choses à savoir sur cette maladie :

La variole du singe se transmet par contact

La variole du singe peut se propager par contact étroit avec des personnes infectées. Elle pénètre par les yeux, le nez, la bouche et les lésions cutanées.

Elle peut également être transmise par les rapports sexuels et le contact avec des animaux infectés tels que les singes, les rats et les écureuils, ou des objets contaminés.

La variole du singe a été découverte pour la première fois chez des singes au Congo

La variole du singe est causée par le virus de la variole du singe. Elle a été découverte pour la première fois en 1958 chez des singes de laboratoire.

Le premier cas humain de la variole du singe a eu lieu en 1970, en République démocratique du Congo (RDC).

Depuis lors, la variole du singe a été signalée dans de nombreux pays d’Afrique centrale et occidentale, comme le Nigeria, le Gabon, le Cameroun, le Liberia et bien d’autres.

La variole du singe provoque des éruptions cutanées douloureuses

Les symptômes de la variole du singe sont la fièvre, les maux de tête, les gonflements, les douleurs dorsales et les douleurs musculaires.

Les éruptions se situent généralement autour du visage, des paumes et des pieds et sont assez douloureuses et démangeantes. Elles provoquent également des cicatrices et des plaies sur le corps.

La variole du singe n’est pas mortelle

La variole du singe n’est pas mortelle. Après un traitement approprié, elle disparaît en 14 à 21 jours. Cependant, en Afrique, son taux de mortalité est de 1 à 10.

Les hommes gays et bisexuels sont à risque

Selon l’Agence britannique de sécurité sanitaire, une proportion notable du virus a été trouvée chez les hommes homosexuels et bisexuels.