Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

>

« C’est assez, trop c’est trop ! », quand Sir Alex Ferguson recadrait Cristiano Ronaldo

Credit Photo : DR

Facebook
Twitter
WhatsApp

L’ancien international anglais Nicky Butt a partagé le vestiaire avec Cristiano Ronaldo à Manchester United lors de la saison 2003/2004.

Dans une interview accordée ce vendredi 1er octobre au journal britannique The Sun, il a rappelé à quel point l’attaquant était déjà obsédé par le football lorsqu’il a été acheté du Sporting.

L’ancien international anglais a rappelé qu’à l’époque, on disait déjà que l’international portugais serait un génie, mais a souligné que ce n’était pas seulement le talent qui l’a mené au sommet, mais le travail qu’il a fourni.

« On dit souvent que certains joueurs travaillaient dur ou faisaient des entraînements supplémentaires pour pratiquer des techniques, mais avec Cristiano, c’était un dévouement total, un engagement total et un travail total », a-t-il déclaré.

« Il n’avait pas le don divin du physique, c’est lui qui a travaillé dur pour y parvenir. En fait, il est arrivé en tant qu’enfant maigre, et il a dû travailler dur pour obtenir ce physique pendant de nombreuses années », a-t-il poursuivi.

« Il a dû atteindre un nouveau niveau de force physique parce que la Premier League l’exigeait, et il a eu plusieurs occasions de voir à quel point il était résistant, même à l’entraînement, lorsqu’il affrontait des joueurs comme Roy Keane et Jaap Stam », a-t-il ajouté.

Nicky Butt a rappelé qu’à l’époque, Cristiano Ronaldo n’a jamais eu de petite amie et ne semblait pas intéressé par ce genre de distraction. Le Portugais “était le dernier à quitter le centre d’entraînement” des Red Devils, à tel point qu’Alex Ferguson a dû intervenir.

« Nous déjeunions à la cantine ou nous nous préparions à rentrer à la maison et nous entendions la voix de Sir Alex résonner dans le terrain d’entraînement à 14h ou 15h, criant sur Cristiano qu’il était temps de partir, disant ‘Nous avons un match dans deux jours’. C’est assez, Trop c’est trop ! », a-t-il conclu.