La Banque Mondiale a présenté ce 30 novembre, en marge des activités de la COP 21, un plan d’action pour le climat en Afrique.
La Banque mondiale, en présentant ce plan, est mue par les défis liés aux changements climatiques et ses conséquences, ainsi que la problématique des efforts de réduction de la pollution avec les difficultés de les concilier avec les exigences du développement.
D’une valeur globale d’environ 21 milliards de dollars pour des résultats adéquats d’ici 2025, il vise à accélérer la mobilisation des ressources afin de dynamiser la capacité d’adaptation de l’Afrique au changement climatique tout en réduisant les émissions de gaz à effet de serre.
Dans son intervention au cours de la présentation, le Président Faure E. Gnassingbé est revenu en long sur la question des conséquences du réchauffement climatique sur le Togo.
D’une part, le Chef de l’État togolais a mis en évidence les conséquences, lesquelles sont l’érosion côtière, les désastres des saisons des pluies. D’autre part, les questions des défis liés à la pénurie d’énergie auxquels font face le Togo et le Bénin ont été relevés.
La question de l’électrification, avec à l’appui l’apport de solution écologique, a aussi été posée par le Président sénégalais Macky Sall.
Les Présidents gabonais et sénégalais et le Premier Ministre de Sao Tomé-et-Principe étaient présents à cette rencontre.
Joël Dagba