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COP22, les universitaires africains apportent leur pierre à la problématique

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Octave Nicoué K. Broohm, ministre togolais de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
Octave Nicoué K. Broohm, ministre togolais de l’Enseignement supérieur et de la Recherche

Ouverture officielle de la 17è édition des Journées scientifiques internationales de Lomé ce lundi 03 octobre à l’Université de Lomé.

Cette rencontre inter-universitaire de cinq jours (03-08 octobre), placée sous le thème, « La recherche scientifique face aux défis des changements climatiques et les enjeux de développement », se veut être le chantre de la lutte des scientifiques contre le réchauffement climatique dont est victime la planète.

Il s’agira donc au cours de cette réunion réflexive et opérationnelle du cortège d’enseignants, de scientifiques et de  chercheurs, venus des universités de douze (12) pays de l’Afrique de l’Ouest et du Centre, de se pencher sur la question du changement climatique en accord avec la 21è Conférence des Parties (COP21), et d’apporter des contributions à la future COP22 qui se tiendra en novembre à Marrakech (Maroc).

Au total, 250 exposés en moyenne par jour ainsi que huit (08) ateliers couvrant l’ensemble des domaines d’enseignement et de recherche inscrits dans les universités membres seront présentés. D’autres activités dont des expositions de produits issus des activités de recherche et d’innovation, des concours de posters et des side-events enrichiront cet événement, a laissé entendre le Directeur de la Recherche Scientifique de l’Université de Lomé et Président du Comité d’organisation, Professeur Johnson  Ampah Christophe.

Photo de famille
Photo de famille

Pour le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Octave Nicoué K. Broohm, la Recherche scientifique est éminente et doit éclairer les stratégies à mettre au point pour faire face efficacement à ce problème.

« En termes d’adaptation, en termes  de comportement que nous devons développer, en termes de mobilisation financière et de stratégie politique face aux enjeux du changement climatique, tous ces éléments sont à éclairer et à encourager justement par la recherche scientifique », a-t-il précisé.