Selon plusieurs études publiées par le New England Journal of medicine et les Universités américaines de Californie, Los Angeles et Princeton, le nouveau coronavirus disparaît en quatre heures sur des surfaces en cuivre, alors qu’il peut faire plus de temps sur du carton ou du plastique.
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Les résultats de ces études sont une aubaine pour Le Chili, premier producteur de cuivre au monde. Ainsi, les autorités chiliennes innovent en ce temps de crise sanitaire grâce aux propriétés antiseptiques de ce métal.
Ils ont alors décidé de fabriquer des masques auxquels ont été ajoutées des nanoparticules de cuivre.
D’après Daniel Martinez, l’un des initiateurs du projet, les nanoparticules de cuivre « détruisent les acides nucléiques de l’ADN d’un virus ou d’une bactérie en un processus très rapide et efficace ». En fabriquer à grande échelle serait salutaire pour beaucoup de personnes.
Ces maques sont lavables et réutilisables. Leur conception est similaire à celle des masques chirurgicaux explique Mme Briceño directrice d’une société, qui vend ses produits au Chili aux entreprises minières et de télécommunications au prix de 10 dollars l’unité.
En aidant les entreprises chiliennes à produire ces masques, on apporterait une bouffée d’espoir alors que le manque de masques adaptés à la situation est criard dans le monde.
