Depuis mardi, l’armée malienne fait dorénavant la loi au Mali après avoir arrêté sans résistance et poussé à la démission, le président Ibrahim Boubacar Keita (IBK). Un coup d’Etat que la France et la communauté internationale n’ont pas approuvé, mais cela n’empêche guère la France de poursuivre l’opération Barkhane dans le pays.
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« L’opération Barkhane, demandée par les Maliens et autorisée par le Conseil de Sécurité de l’ONU, se poursuit », a déclaré la ministre française des Armées, Florence Parly sur Twitter.
Cette décision de la France ne gênerait nullement pas les putschistes maliens car ils ont eux-mêmes rassuré en premier le monde que tous les traités liant le Mali à d’autres Etats ou organisations, reste toujours d’actualité.

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Mais pour la CEDEAO, il n’est pas question de traiter avec des putschistes alors il a suspendu le Mali de sa communauté.
L’opération Barkhane, demandée par les Maliens et autorisée par le Conseil de Sécurité de l’ONU, se poursuit. Les militaires français en lien avec les partenaires européens et sahéliens, continuent d’assurer leur mission avec professionnalisme, au bénéfice de la sécurité de tous. https://t.co/5srANBG2sw
— Florence Parly (@florence_parly) August 20, 2020