Il y a treize ans, un Airbus A330 de la compagnie Air France s’écrasait dans l’océan Atlantique. Cette catastrophe aérienne a fait 228 victimes.
Il a fallu dix années d’instruction, de multiples expertises et des heures d’audition avant de parvenir à ce moment de justice.
A compter de ce lundi 10 octobre, Airbus et Air France, poursuivis pour homicide involontaire, devront s’expliquer sur leurs responsabilités respectives dans le dysfonctionnement des sondes Pitot, les capteurs de vitesse de l’avion, et la formation des pilotes en situation de crise.
Plus de treize ans après les faits, les 489 parties civiles, familles des victimes de 21 nationalités différentes mais aussi tous les syndicats de personnels navigants d’Air France attendent des réponses.
✈️ Le procès du vol Rio-Paris s’ouvre ce lundi 10 octobre mais de nombreuses zones d’ombre persistent, notamment sur les responsabilités d’Airbus et d’Air France.
Retour sur la pire catastrophe de l’histoire d’Air France.
▶️ #JT20H pic.twitter.com/Ok06EwSk1N
— Info France 2 (@infofrance2) October 10, 2022