Mauvaise nouvelle pour Boni Yayi. Lors de la dernière crise post-électorale marquée par les violences du 1er et 2 mai derniers, l’ancien président Boni Yayi avait saisi la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples (CAfDHP) pour plusieurs motifs liés à la violation de ses droits et de plusieurs autres personnes impliquées.
Lire aussi : Togo : L’alcootest au volant introduit à partir d’octobre prochain
Boni Yayi avait notamment demandé à la Cour africaine d’ordonner entre autres la levée de siège autour de son domicile, l’abandon des poursuites contre l’ex-député Guy Mitokpè et la libération des personnes arrêtées.
Dans sa décision rendue cette semaine, rapporte Béninwebtv, la CAfDHP n’a pas été favorable aux nombreuses demandes de l’ancien président.
Lire aussi : Togo : la date de réception de l’hôpital Saint Pérégrin de Lomé connue
Après analyse de la requête et des arguments de l’Etat béninois, la Cour a décidé de ne pas accorder les mesures provisoires demandées par l’ancien président. Cette position est motivée par plusieurs raisons contenues dans la décision dont voici ci-dessous l’intégralité.