Donald Trump a une idée bien claire sur l’identité du président disposant d’une plus riche connaissance sur les élections truquées. Le 25 septembre 2025, s’était notamment tenu à la maison blanche, une rencontre entre le président américain et son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan.
Un événement durant lequel le Républicain a longuement vanté les mérites de son invité, sans pour autant manquer de critiquer subtilement sa façon de diriger la Turquie.
« C’est un homme dur. C’est un gars aux idées très arrêtées. D’habitude, je n’aime pas les gens qui ont des idées arrêtées, mais j’apprécie toujours celui-ci« , a d’abord déclaré Donald Trump à l’endroit de Recep Tayyip Erdogan.
Et de poursuivre : « Nous sommes amis depuis un long moment, même depuis quatre ans, quand j’étais en exil, injustement comme il s’avère, à cause des élections truquées« .
Il a continué sa déclaration en évoquant par ailleurs, la tendance de certains chefs d’Etat à rester longtemps au pouvoir.
En effet, plusieurs présidents prennent l’engagement de réprimer systématiquement toute opposition dans leur pays, comme comme ce qu’on reproche à son homologue turc.
Recep Tayyip Erdogan en sait plus que quiconque sur les élections truquées
« Il en sait plus que quiconque sur les élections truquées« , a assuré Donald Trump, en pointant son invité.
Une déclaration qui fait suite aux dernières nouvelles annonçant une répression dont serait victime l’opposition turque, mais aussi certains médias.
Le président américain a ensuite conclu sa déclaration en rappelant l’aide importante dont lui a été sa bonne relation avec Tayyip Erdogan, durant son exil.
« Quand j’étais en exil, on était toujours amis, c’était un meilleur moyen pour tester notre amitié. C’est un homme hautement respecté. Il est très respecté dans son pays au sein de l’Europe, et partout ailleurs« , a assuré le Républicain.
À titre de rappel, en faisant mention à « Exil« , Donald Trump fait référence à la durée du mandat de son prédécesseur démocrate, Joe Biden. Le milliardaire n’a jamais raté aucune occasion pour pester contre la victoire du démocrate contre lui en 2020, qu’il a toujours décrit comme le résultat d’une fraude électorale massive.
