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Les nouveaux défis de l’EAMAU

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La 36e réunion du Conseil d’administration de l’École Africaine des Métiers de l’Architecture et de l’Urbanisme (EAMAU) se tient depuis ce mercredi 5 décembre à Lomé. Il s’agit pour ces experts de faire le bilan des activités, d’étudier le budget de l’année prochaine et de revoir la mise en œuvre des résolutions prises lors de la 35e session.

Pour mieux faire face aux nouveaux enjeux, l’école a besoin de consolider les acquis des réformes opérées entre 2013 et 2015.

Après 42 ans d’existence, l’EAMAU se veut une institution qui doit maintenir le cap dans sa marche aussi bien dans le sens de renforcement de la gouvernance que dans son positionnement stratégique. Son ambition est la quête de l’excellence et de la compétitivité sur le plan mondial.

Pour le Directeur général, Moussa Dembélé, l’EAMAU vient d’entrer dans une phase décisive : la maturité. Un certain nombre de réformes sont proposées allant dans le sens de l’amélioration de l’offre de formation pour une performance des diplômés sur le terrain.

Les diplômés qui sortent de l’EAMAU doivent ainsi répondre aux défis de la mutation rapide des villes aujourd’hui, a ajouté le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche Octave Nicoué Broohm.

Il faut que les architectes, les urbanistes, les gestionnaires de la ville soient au point et comprennent bien les défis qui sont posés aux villes africaines notamment, a-t-il souligné.

Depuis sa création, l’EAMAU a formé près de 1300 architectes-urbanistes et gestionnaires urbains. Elle regroupe 14 pays de l’Afrique de l’Ouest et du centre.