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Eder Militao déclare la guerre à son ex-femme : “Puisque tu veux te battre, battons-nous”

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Ce jeudi 13 octobre, le joueur du Real Madrid, Eder Militao, a déposé plainte contre son ex-femme Karoline Lima.

Apparemment, le footballeur ne veut dépenser que 1 200 € par mois comme pension alimentaire pour la fille qu’ils ont en commun. Un montant que l’influenceuse juge dérisoire compte tenu de son salaire.

Il s’agit de la deuxième action en justice que le footballeur lance contre Karoline depuis qu’ils ont annoncé leur rupture quelques jours avant de devenir parents. Dès lors, la jeune femme a explosé sur ses réseaux sociaux et a lancé un message fort dans lequel elle répond à la déclaration de guerre de Militao.

Voici la déclaration complète de Karoline Lima :

“Aujourd’hui, je me surprends une fois de plus avec un autre processus de mon ex et une fois de plus, je l’ai découvert par les médias. Je n’ai toujours pas accès à 100% à ce processus. Mon avocat est déjà derrière. Mais je ne vous dis qu’une chose : si tout ce qui sort dans les médias est vrai (ce que je n’espère pas), je ne me tairai plus. Je ne vais plus faire comme si rien ne se passait, je ne fermerai plus les yeux. Maintenant, une lutte d’adultes commence.

Je suis une femme, je suis une mère, j’ai mon caractère et, Dieu merci, j’ai une voix. Et peut-être que vous voyez cela ennuyeux. Je me demande combien de femmes ont vécu la même situation. Alors maintenant, je vais utiliser ma voix pour exposer tout ce que j’ai vécu, tout ce que je traverse et ce que je vais encore traverser.

Je ne laisserai aucun homme, encore moins le propre père de ma fille, briser mon caractère et qui je suis vraiment. Et encore moins dire des mensonges à mon sujet. Celui qui était avec moi le sait, mais maintenant vous le saurez tous.

J’ai essayé à plusieurs reprises de tout résoudre de la meilleure façon possible, sans impliquer la justice et les avocats, sans exposition. Donc, puisque tu veux te battre, battons-nous. Et tu peux être assuré que je ne suis pas sans munitions”, a-t-elle écrit sans détour.