Ce 14 mars, elle l’a annoncé à regret, Elizabeth II ne sera pas présente sous les voûtes de l’abbaye de Westminster pour célébrer le Commonwealth dont elle est la cheffe depuis 70 ans.
Représentée par Charles, Camilla, William et Kate Middleton, la reine, tout juste remise d’une contamination au Covid, assurera d’autres engagements par visioconférences, a insisté son entourage.
Sa participation physique à un service honorant la mémoire du prince Philip, toujours en l’abbaye de Westminster, le 29 mars, n’a pas été annulée à ce stade, mais elle semble de plus en plus compromise.
Hospitalisée à l’automne dernier, se déplaçant désormais avec une canne, dans l’incapacité de “bouger” comme elle en a fait l’aveu sur un ton badin en début d’année, la souveraine, qui fêtera ses 96 ans le 21 avril, ne serait même plus capable de promener ses chiens, rituel dont elle s’est toujours personnellement chargée, selon Gala.
De l’autre côté de la Manche, l’évidence s’est imposée, à peine démentie par Buckingham : la souveraine, retirée définitivement à Windsor, passant de plus en plus le relais à son fils Charles, ne peut plus soutenir un effort physique trop important.
Participer à des processions ou assister debout à un évènement pendant de longues minutes lui est épargné. C’est assise devant un ordinateur, ou son téléphone à portée de main, qu’elle assure son règne au mieux, désormais.