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Elizabeth II soulagée : voici les chefs d’accusation retenus contre l’homme qui avait troublé son dernier Noël

Elizabeth II : voici 5 choses que vous ne saviez probablement pas sur la reine

Crédit Photo : Le Parisien

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C’est un ouf de soulagement pour la reine Elizabeth II. L’individu qui avait troublé ses fêtes de fin de d’année, en décembre dernier, a été inculpé pour tentatives de “blesser ou nuire à Sa Majesté”, menace de mort et possession illégale d’arme. L’annonce a été faite par la police britannique, ce mardi 2 août.

L’intrus avait été appréhendé le jour de Noël, armé d’une arbalète dans le domaine de Windsor, à quelques centaines de mètres des appartements de la mère du prince Charles. Originaire de Southampton, dans le sud de l’Angleterre, l’accusé est actuellement détenu et comparaîtra le 17 août à la Westminster Magistrates’ Court de Londres.

Le 25 décembre, le jeune homme de 20 ans avait été interpellé quelques instants après son intrusion sur les terres du château de Windsor, devenu la résidence principale d’Elizabeth II depuis quelques années. Il faut dire que la chance n’était pas du côté de la grand-mère du prince Harry ce soir-là. Passant habituellement ses fêtes de fin d’année dans sa résidence de Sandringham, dans l’est du pays, elle avait dû annuler ses plans en raison d’une résurgence du Covid-19. De plus, il s’agissait du premier Noël de la reine depuis la mort de son époux, le prince Philip, en avril 2021.

Après son intrusion, l’individu avait été interné en soins psychiatrique en vertu de la loi sur la santé mentale anglaise. Masqué et vêtu d’un pull à capuche noir au moment des faits, le jeune homme avait partagé une vidéo sur son compte Snapchat quelques minutes plus tôt. Se présentant comme un Indien sikh, il avait affirmé qu’il souhaitait rendre justice pour un massacre commis en 1919 par les troupes britanniques contre des manifestants en Inde. “Je suis désolé pour ce que j’ai fait et ce que je vais faire. Je vais tenter d’assassiner la reine Elizabeth”, avait alors revendiqué l’individu, qualifiant son acte de “vengeance pour ceux qui ont été tués, humiliés et discriminés à cause de leur race”, rapporte Gala.

Ces tentatives d’intrusion au sein des résidences royales sont monnaie courante au Royaume-Uni. La plus spectaculaire étant celle de 1982, lorsque Michael Fagan, un homme de 33 ans, était parvenu jusqu’à la chambre à coucher de la régente.