Une femme veuve et mère de trois enfants raconte avec douleur la découverte bouleversante qu’elle a faite en rendant visite à sa fille qu’elle croyait poursuivre ses études universitaires.
“Je ne sais plus où mettre la tête. Si les enfants ne nous tuent pas, c’est la grâce de Dieu”, commence-t-elle.
Depuis le décès de son mari, cette mère a choisi de ne pas se remarier afin de se consacrer à l’éducation de ses enfants. Parmi eux, une fille qu’elle a élevée comme la sienne, bien qu’elle ne soit pas sa fille biologique.

“Mon mari l’avait eue d’une autre femme, décédée en couche. Je l’ai élevée comme ma propre fille”, explique-t-elle.
La jeune fille, censée être aujourd’hui en troisième année d’université, recevait chaque mois son argent de poche et son loyer annuel payé par sa mère.
“Je lui ai versé 350 000 francs en août pour le loyer et je lui envoie 50 000 francs chaque mois. Elle me disait que tout allait bien et qu’elle était en licence.”
La semaine dernière, la mère décide de lui faire une surprise après cinq mois sans se voir. Mais en arrivant à la résidence universitaire, elle découvre avec stupeur que sa fille n’y vit plus depuis deux ans.
“Une locataire m’a dit que ma fille avait déménagé depuis longtemps. Elle m’a accompagnée jusqu’à son nouveau logement.”
Arrivée sur place, la mère trouve sa fille vivant avec un jeune homme dans une petite chambre modeste.
“Quand elle m’a vue, elle était choquée. Elle portait une tenue inappropriée. J’ai pleuré. Tout ce que je faisais pour elle… je me suis sentie trahie.”
La femme raconte que la jeune fille n’a jamais validé sa première année d’université, malgré les sommes envoyées pour ses études.
“Tout cet argent servait à financer sa vie avec ce garçon. Elle m’a menti pendant deux ans.”
Entre colère, tristesse et désillusion, cette mère se dit dévastée : “Je pense à son père et je pleure. J’ai élevé cet enfant avec tout mon amour. Comment en est-on arrivé là ?”
Elle confie aujourd’hui ne plus savoir comment réagir face à cette situation : “Je ne veux pas la rejeter, mais je ne sais pas comment gérer une telle trahison.”