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« Elle était comme son premier enfant » : Céline Dion anéantie par la mort de…

Céline Dion -les derniers jours très éprouvants de son mari

Credit Photo : DR

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La vie de Céline Dion n’a pas toujours été un long fleuve tranquille. Derrière son large sourire, la chanteuse cache une terrible blessure, la mort de sa nièce, Karine, à l’âge de 16 ans. Un drame que la chanteuse évoque dans le titre « Vole », écrit par Jean-Jacques Goldman à sa demande, qui la submerge aujourd’hui encore d’émotion à chaque concert.

Lors de l’enregistrement de cette chanson hommage, la diva n’était d’ailleurs pas parvenue à retenir ses larmes. « Céline et René son mari se prennent dans les bras, pleurent en écoutant les prises. C’est fusionnel. Un soir, elle est tellement émue après avoir chanté ‘Vole’, dédiée à sa nièce décédée, qu’elle part et ne revient pas », se remémorait Erick Benzi auprès du Parisien.

Et pour cause, les deux jeunes femmes étaient tout bonnement inséparables. « Sa petite-nièce était comme son premier enfant », détaille Élisabeth Raynaud dans les colonnes de Gala. Et la biographe d’expliquer qu’après la disparition de Karine, Céline Dion a décidé de « s’investir très concrètement dans la recherche contre la mucoviscidose ».

« Tout le monde a un fort à protéger. Mon fort, ma cause à moi, en tant que mère et en tant que fille d’une fratrie de 14, ce sont les enfants. Leur santé, leur avenir. Depuis toujours. Ils sont les plus beaux cadeaux que la vie puisse nous donner et il faut en prendre soin. Cette pandémie nous le révèle plus que jamais », confiait la star.

Et Céline Dion de poursuivre : « Très tôt dans ma vie, avant même d’avoir des enfants, j’ai compris combien investir en pédiatrie pouvait être porteur d’avenir et d’espoir. 

Il y a près de 30 ans, ma nièce Karine (…) s’éteignait à l’âge de 16 ans après un long combat contre la fibrose kystique (…) Je ne lis pas l’avenir, mais je peux vous dire que la médecine pédiatrique fait des pas de géant en ce moment ».

« Du fond du cœur, merci d’être là. Même le plus petit don est important. Merci de voir aussi loin que moi (…) Merci de choisir la santé des enfants. Maintenant. Pour demain », concluait-elle alors, reconnaissante.