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Emmanuel Macron : ce terme « funeste » qu’il reconnaît avoir employé

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S’il redouble d’efforts dans le cadre de la lutte contre le coronavirus, tout en tentant d’apporter de l’espoir aux Français, Emmanuel Macron ne cache pas ses préoccupations en interne. Ainsi, l’heure est à l’introspection pour le président de la République. Car, d’après de récentes informations du quotidien Le Parisien, le mari de Brigitte Macron a reconnu avoir employé un terme qu’il juge “funeste” durant sa gestion de la crise sanitaire, et donc lourd de conséquences, à savoir celui de professions dites “non-essentielles”. En départageant ces commerces et métiers des autres établissements jugés de première nécessité, le chef de l’État a, en effet, attisé la colère de nombreux commerçants et travailleurs.

Ces derniers sont désormais inquiets pour leurs industries, n’hésitant donc pas à faire part de leur indignation. À commencer par le secteur de l’hôtellerie et de la restauration, incarné notamment par des personnalités à l’image de Philippe Etchebest. Car s’il a tiré la sonnette d’alarme une première fois durant le premier confinement, le chef étoilé et visage de Cauchemar en cuisine a réitéré ce cri du cœur au mois d’octobre 2020, sur le plateau de Touche Pas à Mon Poste.

Du côté du monde du spectacle et de la culture, la colère est toute aussi vive. Contrairement à ce qui a été annoncé par Emmanuel Macron mardi 24 novembre, les lieux culturels n’ont pas été autorisés à rouvrir leurs portes ce mardi 15 décembre. Une réévaluation de la situation est prévue pour le 7 janvier 2021.

Mais au-delà des frictions avec les commerçants, le locataire de l’Élysée est aussi préoccupé par les décisions difficiles qu’il pourrait être forcé de prendre en début d’année 2021. “Il a une hantise”, a soufflé un proche d’Emmanuel Macron, toujours dans les colonnes du Parisien, “c’est qu’on commence à vacciner et qu’au même moment on revive une flambée virale”. Car si le vaccin du laboratoire Pfizer sera bien administré aux personnes les plus vulnérables face au coronavirus en 2021, “la suite est floue”.

Avec Closermag.