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Emmanuel Macron et Nicolas Sarkozy : ce cliché top secret qui fait grand bruit

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Une rencontre à l’abri des regards indiscrets. Ce mardi 12 avril, Nicolas Sarkozy a annoncé sur son compte Twitter qu’il votera pour Emmanuel Macron lors du second tour de l’élection présidentielle.

Un soutien bien plus qu’un simple barrage à l’extrême droite qui fait grincer des dents du côté du parti Les Républicains, d’autant que l’ancien président de la République n’a jamais soutenu Valérie Pécresse pour le premier tour.

Et ce jeudi 14 avril, Paris Match nous apprend dans son nouveau numéro que Nicolas Sarkozy a rencontré Emmanuel Macron à l’Élysée, dans le plus grand secret, ce vendredi 1er avril. Une visite dont le magazine est parvenu à prendre une photo publiée en Une de son édition.

L’époux de Carla Bruni a également accepté de se confier à Paris Match pour justifier son soutien au président sortant. “Mon choix sera Emmanuel Macron , sans ambiguïté ni réserve”, a-t-il tout d’abord assuré, avant d’ajouter : “Je suis conforme à ce que j’ai toujours fait. Le “ni-ni” n’a jamais porté chance au mouvement gaulliste. Le ni-ni, c’est choisir Le Pen. Le ni-ni, c’est la disparition. Je rappelle que, dans la charte des valeurs du parti que j’ai créé, il est écrit que l’on s’engage à combattre de manière absolue l’extrême droite”, rapporte Closer.

Selon Nicolas Sarkozy, la position politique d’Emmanuel Macron a évolué “vers le centre droit”. Une place qui correspond davantage aux valeurs défendues de l’ex-président. “Qui peut s’en plaindre? Pas moi. À partir du moment où une grande partie de ses idées sont maintenant les mêmes que les nôtres, il faut l’accompagner. Son bon score au premier tour… N’est-ce pas la traduction qu’une partie des électeurs de droite l’ont rejoint?”, s’est-il demandé. Lors de cette même rencontre, Nicolas Sarkozy s’est cependant montré beaucoup plus critique envers Valérie Pécresse. “La candidate LR a choisi d’être très dure avec le candidat Macron mais ses propositions n’arrivaient pas à percer. Valérie ne pouvait pas, en même temps, l’accuser d’être le fossoyeur de la France et dire qu’il nous prenait nos idées”, a-t-il regretté.