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États-Unis : 3 hommes condamnés pour avoir violé les animaux de leur ferme

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Il y a une semaine, la justice de l’État américain de Pennsylvanie a condamné trois hommes de 31, 34 et 41 ans à des peines allant de 20 à 41 ans de prison. Ils ont ainsi été reconnus coupable d’actes zoophiles sur les animaux de leur ferme.

Le lundi 22 avril dernier, la justice de l’État américain de Pennsylvanie (nord-est) a condamné Matthew B., 31 ans, Marc M., 34 ans et Terry W., 41 ans à des peines allant de 20 à 41 ans de prison. Des prévenus ainsi reconnus coupables d’actes zoophilie dans leur ferme familiale de Munson, dans le comté de Clearfield.

En tout, rapporte Le Midi Libéré, ce sont douze animaux qui ont subi les sévices de ce trio pendant plusieurs années. Des victimes qui seraient au moins neuf juments, des chiens, une vache et une chèvre. RTL.fr souligne que c’est un adolescent de 16 ans, contraint d’aider ces hommes à maîtriser les animaux pendant les viols, qui a donné l’alerte.

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Des viols qui auraient été commis sur des juments, des chiens, une vache et une chèvre

Le plus jeune des trois mis en cause a reconnu des actes sexuels sur une jument, une chèvre, une vache et son chien, à raison d’au moins un viol quotidien pendant environ quatre ans. Marc M. a quant à lui avoué des relations sexuelles avec plusieurs juments plusieurs fois par semaine, mais démenti tout rapport avec des chiens.

Durant l’enquête ont également été découverts matériel de tournage et enregistrements qui ont révélé qu’au moins plusieurs de ces abus avaient été filmés.

Les vidéos ont “brûlé les yeux” du procureur

Les trois hommes ont plaidé coupable de délit de corruption de mineurs, de 730 chefs de délit de “rapports sexuels avec des animaux” et de 730 de “cruauté envers les animaux”. Le procureur du comté de Clearfield William Shaw, qui a visionné les vidéos en question, a déclaré que celles-ci lui “avaient brûlé les yeux” et qu’elles “vivront avec [lui] le reste de [sa] vie”.

Le juge Cherry a quant à lui considéré que cette affaire était “l’une des plus dégoûtantes et les plus abjectes qu[‘il ait] jamais vues”. Les bêtes ont depuis été prises en charge par la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) du comté.

Avec 24 matins