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“Fally Ipupa répond à tous ces critères… un feat avec Toofan est payant” : Blaaz enflamme la toile en dévoilant ces “secrets”

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Les artistes africains sont souvent critiqués et accusés de stagner uniquement dans leur pays au lieu de collaborer avec des artistes internationaux, ce qui leur donnerait plus de visibilité. Cependant, plusieurs ignorent les dures réalités du showbiz.

Dans une publication ce vendredi 20 août, l’artiste béninois Blaaz, tout en reprenant les propos d’Hermann Logozo Quenum, a expliqué les raisons de leur inefficacité.

“Le showbiz à l’inter ne roule pas sur de l’émotion, c’est le cash ou rien. Un feat a un prix surtout quand l’artiste est signé en major. Un exemple simple. Booba malgré sa notoriété a voulu avoir Rihanna sur un de ses albums. Elle lui a exigé 500 000 dollars… Il y a toutefois l’affinité ou la connexion entre deux artistes (on le remarque plus en Afrique et un peu en France), ce qu’on appelle communément opération commerciale gagnant/gagnant…

Fally Ipupa par exemple aura plus de facilité à faire ce genre de collaboration avec ces noms cités, car il répond à tous ces critères. À l’heure où nous parlons, un feat avec Toofan est payant. Ne parlons pas des artistes nigérians(ceux déjà qui l’ont fait peuvent témoigner et c’est pas de petits montants).

La question est la suivante : à part Angélique Kidjo, quel artiste béninois a l’envergure et la connexion avec Gim’s pour que le cas d’affinité pour un probable feat puisse se poser ?”, a notamment déclaré l’artiste sur sa page Facebook.

“Valorisons mieux et plus nos artistes et nous les verrons dans un avenir proche aux côtés des plus grands noms dans des vidéos époustouflantes”, a-t-il conclu.