La technologie ne cesse de se rénover à chaque seconde. Après la 3 G, ce fut la 4 G et maintenant la 5 G.
C’est la cinquième génération des standards pour la téléphonie mobile. Plus performante que la 4 G, elles serait en mesure de transmettre beaucoup de données et rapidement. En plus, elle permettra de relier les smartphones, les objets connectés.
Toutefois, cela ne suscite pas le même engouement chez tout le monde. Des rumeurs sur l’ampleur des conséquences négatives qu’elle pourrait avoir sur la santé et l’environnement effraient plus d’un.
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En France, les associations Agir pour l’Environnement et Priartem-Electrosensibles ont déposé un recours à la justice pour dire non à la 5 G. « La 5G, c’est l’hyperconnectivité de tout et de tous, c’est une bascule de la société », lance Sophie Pelletier, présidente de Priartem. « Et l’Homme dans tout ça ? »
À la veille de la journée mondiale contre la 5 G, les deux ONG ont lancé la pétition « stop à la 5 G » ce vendredi pour attirer l’attention sur la hausse de la consommation énergétique attendue.
D’après les prévisions des spécialistes du think tank The ShiftProject, elle « serait multipliée par 2,5 à 3 dans les cinq ans à venir », soit une hausse de 2 % de la consommation électrique du pays.
