Cela ne vous aura sûrement pas échappé à moins que vous ne sortiez d’un sommeil de plusieurs mois, les chiffres du Coronavirus dans notre pays ne sont clairement pas bons depuis la rentrée.
Comme lors de chaque épidémie, nous avons eu le droit à un petit retour au début, puis au fur et à mesure des siemens, ce retour s’est fait de plus en plus grand, suivant une courbe exponentielle. Nous en sommes arrivés à une situation où il devenait urgent de faire quelque chose sous peine de voir nos capacités d’hospitalisations complètement débordées par un nouvel afflux de patients record qui dépasserait celui de la première vague.
Dans un premier temps, le gouvernement a joué la carte des restrictions moins importantes en mettant en place un couvre-feu à l’échelle locale et non nationale, mais celui-ci n’a pas réussi à freiner l’épidémie. Aux grands maux, les grands moyens, le gouvernement a alors décidé de mettre en place un deuxième confinement moins de deux semaines après avoir lancé le couvre-feu, une nouveau pas spécialement bien accueilli.
Il n’en peu plus des discours du gouvernement
Les deux points qui cristallisent l’attention des Français, c’est la fermeture des petits commerces et le fait de pouvoir passer ou non Noël et le Premier de l’an de manière confinée, sans sortir de chez soi. Légitimement, la question a été posée à Olivier Véran sur ce dernier point lors d’une interview récente sur BFM TV. Sa réponse a alors été de dire qu’à l’heure actuelle, il ne savait pas.
Là encore une réponse qui en a énervé plus d’un dont Jean marie Bigard, très critique du gouvernement depuis le début de cette épidémie qui a cité ce passage de l’interview dans l’un de ses tweets. Il a alors ironiquement dit que c’était génial d’avoir un ministre de la santé qui sait “qu’il ne sait pas”. Il a alors exprimé une pensée pour toutes les professions touchées par ce confinement qui cherchent désespérément des réponses.
source : lecap.net