France : la députée Sira Sylla, victime de xénophobie

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La députée française Sira Sylla a fait des propositions assez intéressantes pouvant aider les citoyens en matière de transfert d’argent. Mal comprise, elle a été l’objet de violents critiques de la part de ses détracteurs. « Vous ne m’atteindrez jamais. Je suis très fière du travail que je mène avec conviction en tant que députée de la République française depuis trois ans notamment pour ma circonscription et la relation Afrique-France. Plus déterminée que jamais ! » a réagi Sira Sylla, suscitant de très nombreux soutiens.

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Les identitaires visaient les récentes déclarations de Sira Sylla qui, mi-juillet, a introduit à l’Assemblée nationale, avec d’autres députés LREM, une proposition de loi de « bi-bancarisation », pour une défiscalisation partielle et temporaire des frais de transfert d’argent, notamment vers l’Afrique et les pays du Sud, face aux conséquences économiques de la covid-19.

Face à cette situation, elle a reçu le soutien massif des autorités françaises. Le Premier ministre Jean Castex a vivement réagi sur Twitter : « Les attaques indignes dont a fait l’objet Sira Sylla appellent une condamnation unanime et sans aucune ambiguïté : je lui ai dit mon soutien et la solidarité de l’ensemble du Gouvernement. Face à la haine, la République doit s’unir et agir ».

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Gérald Darmanin a condamné « avec la plus grande fermeté les comportements ignobles dont a été victime » Sira Sylla. « Je lui apporte tout mon soutien. La République ne cédera rien face à l’idéologie haineuse de ces groupuscules extrémistes » a réagi le ministre de l’Intérieur dans un tweet.

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