Une vingtaine d’années après son meurtre, le commandant Massoud aura incessamment droit à une plaque commémorative à Paris.
Cette décision du Conseil de Paris votée à l’unanimité a été saluée par le fils du chef de guerre afghan, anti-soviétique et anti-taliban, qui avait tissé des liens étroits avec la France.
C’est Arnaud Ngatcha, le maire adjoint chargé des relations internationales qui est à la source de l’initiative.
« Paris est la première ville au monde à honorer ce combattant qui lutta pour la liberté de l’Afghanistan et contre l’obscurantisme », a indiqué Arnaud Ngatcha sur Twitter.
Avec RFI