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Gifles lors du Clasico PSG-OM : Nouvelles révélations ; Neymar risque gros (vidéo)

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Près de 3 semaines après l’incident ayant émaillé le choc entre le PSG et l’Olympique de Marseille, le sujet sera au menu de la Commission de discipline de la Ligue ce mercredi.

En effet, après avoir statué dans un premier temps sur la bagarre générale qui a éclaté dans le temps additionnel, avec à la clé 6 matchs de suspension pour Layvin Kurzawa, 5 pour Jordan Amavi et 2 à Neymar, puis réglé le cas Angel Di Maria en lui infligeant 4 matchs de suspension pour un crachat à destination d’Alvaro Gonzalez, l’instance de la Ligue doit se prononcer sur les échanges houleux entre Neymar et Alvaro Gonzalez.

Et si à l’origine, la Commission de discipline de la Ligue devait statuer sur les insultes racistes proférées par le défenseur espagnol à l’endroit du Parisien et semble-t-il confirmées a posteriori par des images et surtout l’analyse des experts en lecture labiale, le Brésilien a été à son tour rattrapé par le revisionnage des images.

Une première fois pour des insultes homophobes à l’encontre d’Alvaro Gonzalez, la teneur précise de ses propos restant néanmoins très floue.

Les experts en lecture labiale à la rescousse

Selon les experts, le n°10 parisien se serait, lui aussi, rendu coupable d’insultes racistes, non pas à destination d’Alvaro Gonzalez mais d’Hiroki Sakai. Si ces insultes avaient échappé aux caméras de Téléfoot ou BeIN Sports Mena, l’Olympique de Marseille assurait détenir des images de l’échange entre l’ancien Barcelonais et le latéral marseillais. « On a beaucoup d’images », avait d’ailleurs récemment assuré André Villas-Boas.

De manière opportune, ces images ont fuité, mardi soir, à la veille de la Commission de discipline de la Ligue. La radio Cadena Ser a en effet diffusé une séquence où l’on voit Neymar s’adresser avec virulence à Hiroki Sakai.

Et si le Japonais garde le sourire, le Parisien semble effectivement lui lancer à deux reprises un « chinois de merde » qui pourrait coûter très cher au natif de Sao Paulo. Comme Alvaro Gonzalez, le Brésilien risque en effet jusqu’à dix matches de suspension.